Ce premier numéro reprend les onze exemplaires du petit journal que faisait paraître Casanova pour faire la promotion de sa troupe de théâtre en 1780
On y retrouve également le petit "Précis de ma vie" que Casanova envoya à sa dernière admiratrice Cécile de Roggendorff.
Lettre d'un Lycanthrope (1772)
Ce petit ouvrage a été écrit par Casanova pour renflouer ses finances. Le but de ce texte est de contredire deux écrits :
L'Utero pensante (définition de Casanova alors que le titre original était :
"I di geniali della dialettica delle donnn ridotta al suo vero principio"
et La Force vitale dont le titre était :
"Lettre de Madame Cunégonde écrite de B. (Bologne) à Madame Pâquette à F(errare) à l'occasion d'un livre : di geniali della dialettica delle donnn ridotta al suo vero principio".
Ces deux textes débattant de la liaison entre l'uterus de la femme et son cerveau. Pages V et VI du volume.
Introduction
Avis de l'imprimeur
Lana Caprina
Notes
Note sur les Docteurs Zecchini et Azzoguidi
Correspondance inédite de Casanova
L'affaire des moines Arméniens
Notes
L'intermédiaire des Casanovistes
Ce sont les lettres de Cécile de Roggendorff écrites entre 1797 et 1798 à Casanova.
Cécile de Roggendorff n'avait que 21 ans quand elle écrivit sa première lettre à Casanova le 6 février 1797.
Sa dernière lettre connue est du 14 avril 1798.
Elle se maria en 1801 avec le comte Antoine Battthyani-Straettmann avec qui elle eut quatre enfants et elle mourut à Vienne le 27 novembre 1814.
Cette dissertation consacrée à Joseph II, « le plus respectable monarque de la terre et par ses dignités et par ses forces », vaut autant par sa profondeur que par son style. Quant aux cibles choisies, elles ont pour nom courtisans, faux-penseurs et gens de sciences. Face à eux, seuls quelques esprits clairvoyants peuvent s’opposer. La destitution des idoles vaut bien un effort. En l’occurrence, que l’on trempe sa plume dans l’acide pour pourfendre leur ridicule.